Saviez-vous que l’utilisation de la chaleur représente plus de la moitié de la consommation d’énergie en France ? Pour palier à ce fléau du réchauffement climatique, de nombreux concepts techniques et économiques émergent depuis quelques années, comme le stockage thermique. Cette solution est déjà connue des réseaux de chaleur urbains mais n’est pas encore assez déployée dans les activités industrielles, là où pourtant le potentiel de récupération de chaleur perdue est important. Takagreen vous explique tout sur cette solution alternative à la fois responsable et économique !
Qu’est-ce que le stockage thermique ?
Le stockage thermique permet de stocker la chaleur perdue des activités industrielles pour éviter toute perte d’énergie. Que ce soit par stockage latent, thermochimique ou chaleur sensible; il représente une solution efficace pour réduire les consommations énergétiques et ainsi diminuer l’impact carbone des activités.
Pour qui ?
Cette solution est principalement avantageuse pour les industries qui produisent beaucoup de chaleur fatale, afin que cette dernière puisse être réutilisée de façon efficace.
L’accumulateur de chaleur
Notre partenaire ECO TECH CERAM propose sa solution ECO-STOCK : une pile rechargeable en chaleur qui stocke la chaleur des industries ou l’énergie produite par les énergies renouvelables.
Conçue avec des matériaux recyclés, cette pile permet de restituer l’énergie sous forme de chaleur, de froid ou d’électricité.
Les batteries thermiques
C’est ce que propose WATER HORIZON avec sa technologie innovante tout-en-un qui propose une solution de récupération, de stockage et de distribution afin de supprimer la production et la consommation d’énergie dans le temps et l’espace.
Qu’en-est-il de l’impact environnemental de ces solutions ?
Malgré l’empreinte écologique des batteries à base de lithium-ion, ces solutions demeurent une alternative responsable aux systèmes de chauffages classiques qui engendrent davantage de dégâts pour l’environnement. En effet, les batteries utilisées sont fabriquées de tel sorte qu’elles puissent, une fois leur durée de vie épuisée, être recyclées à 50 % pour en faire de nouvelles.